[QUOTE=pogoildritto,7/3/2014, 18:34 ?t=68315305&st=45#entry553273559]
CITAZIONE (cesira.66 @ 7/3/2014, 17:31)
grazie,Pogo, e proprio dalle mie parti si commise il fattaccio!! Non si finisce mai di imparare, soprattutto sulle cose di casa!!
e di questo famigerato moschetto Charleville 1777 ne sai nulla??
Charleville era una delle manifatture d'armi che producevano le armi per l'esercito francese, se ho ben capito il mod. 1777 prese questo nomignolo perchè frutto della lunga evoluzione del mod. 1717, prodotto per la prima volta, proprio a Charleville (?) .
Sul fatto che abbiano confuso moschetto con fucile, si tratta sicuramente di un errore, come sottolineava Sofocle .
Ti dirò, conosco chi possiede una piastra originale del 1717 (
), ed è marcata, come quella pubblicata sul Boudriot, St. Etienne...
Les salles du département moderne du musée de l’Armée exposent un rare exemplaire du fusil de
soldat de 1717, première arme à feu réglementaire de l’armée française.
L’objet en lui-même...
Le fusil de 1717 est la première
arme à feu militaire faisant
l’objet d’un règlement, c’est-à-
dire d’un
document écrit précisant
les caractéristique
s de l’arme. Il s’agit, après conversion en unités de mesure
contemporaines, d’un fusil à silex long de 1,59 m, à chargement par la bouche, pesant 4,19 kg sans
sa baïonnette. Les premiers exemplaires du fusil de 1717 ont une crosse et un fût en hêtre, ceux fabriqués
plus tard sont en noyer. En 1717, le calibre du projectile, une balle de plomb sphérique, est fixé à 18
balles à la livre : jusqu’au XIX
e
siècle en effet, le calibre est défini en fonction du nombre de balles
fabriquées
avec une livre de plomb. Une balle de 18 à la livre a un diamètre de 16,3 mm. Le calibre
du canon, qui correspond au diamètre de l’âme, est de 17,5 mm (cet écart entre le calibre du canon et
celui de la balle, appelé le « vent », est destiné à faciliter l’introduction de la balle au fond du canon car
ce dernier est souvent encrassé sous l’effet de la poudre noire).
L’exemplaire exposé par le musée de l’Armée est globalement bien conservé, malgré quelques
lacunes
résultant d’une longue période de service : le chien d’origine a été remplacé par un chien du
modèle de 1728, la baguette en bois est une réplique, la grenadière et le battant manquent également.
Il possède une quinzaine de marques, dont la signature de « Robert Carrier »,
arquebusier à Saint-
Étienne de 1690 à 1729 (sur la platine et le canon), et celle de « Perrin », arquebusier et platinier dans
la même ville au début du XVIIIe
siècle (à l’intérieur de la platine). Les poinçons de Saint-Étienne (fleur
de lys entre « S » et « E ») son répartis sur la platine, le canon et la crosse